Le Paris Saint-Germain s’apprête à vivre une semaine particulièrement intense, entre voyage à l’étranger, finale internationale et reprise immédiate des compétitions nationales. Un enchaînement exigeant qui va mettre à l’épreuve la gestion de l’effectif de Luis Enrique, aussi bien sur le plan physique que mental.
Le programme débute dès le lundi 15 décembre à Doha, avec une séance d’entraînement à huis clos sur le site d’Al Ersaal. Dès le lendemain, la pression monte d’un cran au Ahmad bin Ali Stadium. Le PSG enchaîne conférence de presse officielle puis entraînement, dont les quinze premières minutes seront ouvertes aux médias, avant une zone mixte. Une journée rythmée, symbole de l’importance de l’événement à venir.
Le point d’orgue de la semaine arrive le mercredi 17 décembre avec la finale de la Coupe intercontinentale face à Flamengo. Un choc XXL programmé à 20h, dans un stade acquis à la ferveur brésilienne, qui représente à la fois une opportunité de prestige et une lourde responsabilité pour les Parisiens. À l’issue de la rencontre, Luis Enrique et ses joueurs devront encore répondre aux obligations médiatiques, preuve d’un agenda sans répit.
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À peine le temps de souffler que le PSG devra déjà se projeter sur la suite. Après une journée de repos le jeudi 18 décembre, les Parisiens reprendront l’entraînement dès le vendredi au Campus PSG, avec une nouvelle conférence de presse de leur entraîneur et une séance à huis clos. Une transition express avant de replonger dans la compétition.
Et retour à Paris
Le samedi 20 décembre, Paris se déplacera à la Beaujoire pour affronter le Vendée Fontenay Foot en 32e de finale de la Coupe de France. Un match piège, programmé à 21h, qui interviendra seulement trois jours après la finale intercontinentale.
Là encore, conférence de presse et zone mixte viendront conclure la soirée, avant un repos bien mérité le dimanche.
Entre Doha, Paris et la Coupe de France, le PSG va donc enchaîner les kilomètres, les matches à enjeu et les obligations médiatiques en l’espace de quelques jours. Une séquence ultra-chargée qui pourrait peser sur les organismes, mais aussi renforcer la dynamique du groupe si les résultats suivent.
Pour Luis Enrique, l’enjeu sera clair : gérer les temps forts, préserver ses cadres et maintenir l’exigence maximale jusqu’à la trêve.
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