Le PSG ne s’arrête pas là. Pas après ça. Pas maintenant. Depuis le début de saison, le discours de Luis Enrique sonnait déjà comme un avertissement. Aujourd’hui, il résonne comme une promesse : Paris n’a pas fini de marquer l’histoire.
Pendant des années, la Ligue des champions a été un poids. Une obsession, presque un fardeau. Un rêve qui se transformait toujours en désillusion. Puis est arrivé ce 31 mai 2025, à Munich. Une finale à sens unique. Un 5-0 face à l’Inter Milan. Et, soudain, tout a changé.
Ce soir-là, Paris ne s’est pas seulement libéré. Il a changé de dimension. La question n’est plus “peut-il gagner la C1 ?” mais “jusqu’où peut-il aller ?”. Combien de fois ? Combien de saisons au sommet ?
La peur a disparu
En interne, le ton a basculé. La peur du premier sacre a disparu. À sa place, une ambition froide, assumée, presque dérangeante : installer le PSG parmi les références absolues du football européen, sur la durée, comme les plus grands.
Rien n’est laissé au hasard. Un entraîneur fort, écouté. Une direction enfin alignée. Et surtout, une équipe jeune, affamée, construite pour grandir ensemble. Paris n’a pas gagné à la fin d’un cycle. Il a peut-être gagné au début d’une ère.
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