Samir Nasri a livré son opinion sur la mise à l’écart d’Hatem Ben Arfa.
Hatem Ben Arfa se morfond à nouveau en CFA en attend que la LFP livre son verdict sur la plainte déposée par son avocat. De son côté, Samir Nasri, autre forte tête de la fameuse génération 87, la plus compliquée du foot français, a du mal à comprendre cette mise à l’écart.
“Je ne comprends pas. Pour n’importe quel footballeur. Après une quasi-saison blanche au PSG, tu en ajoutes une deuxième saison. Les gens t’oublient forcément, tu n’auras pas les mêmes demandes”.
“Quand tu es footballeur et quand tu aimes ça, tu as besoin de jouer. Je ne me contenterais jamais d’être sur un banc ou en réserve”, a-t-il dit sur Canal+.
“Après, je peux comprendre Hatem. Paris aurait pu faire l’effort de lui donner la moitié de son année pour le laisser partir. C’était un choix de la direction de le prendre l’an dernier”.
“Quand on est capable de payer 222 ou 180 millions un joueur, on peut donner la moitié d’une année à Hatem Ben Arfa, ça ne leur coûte rien du tout”, estime-t-il, faisant référence à la dernière année de contrat de Ben Arfa que le PSG refuser de lui verse.