Dans le journal hongrois, Nemzeti Sport, Zsolt Löw évoque ses premiers mois au PSG.

Se mettre en danger. “J’ai choisi de me mettre en danger, c’est sûr. Si j’étais resté à Leipzig, j’aurais eu un traitement de faveur, ma famille serait restée dans sa zone de confort. À Paris, je ne travaille pas que pour le club et pour moi, je travaille aussi pour le football hongrois”.

Paris, c’est dur. “De l’extérieur, les gens peuvent penser que tout n’est que lumière ici. Je suis bien évidemment l’un des hommes les plus chanceux du Monde de pouvoir travailler ici, mais… je dois aussi gérer les problèmes du quotidien ici”.

Les changements. “Nous n’avons pas tout bousculé, nous ne pouvions pas faire des changements radicaux du jour au lendemain. Nous avons attendu quelques semaines, quelques mois, avant d’avoir l’adhésion. Même si nous sommes encore loin de la fin, nous sommes sur le bon chemin. Rome ne s’est pas fait en un jour, Paris non plus”

Les joueurs. « S’ils sentent que vous leur voulez du bien, que vous arrivez à les en convaincre, ils feront ce que vous voulez. À Leipzig, c’était beaucoup plus simple et direct de s’adresser à un jeune talent de vingt ans, il suffisait de lui dire de faire comme cela et il le faisait. Ici, je dois convaincre Neymar, Mbappé ou autre qu’ils doivent faire cela. Les résultats commencent à se voir alors, ça se met en place. C’est un défi intéressant, les joueurs doivent s’adapter à nous et nous devons nous adapter à eux », a-t-il indiqué.

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