Luis Enrique a fait le point sur le groupe du PSG avant le déplacement à Lens en Ligue 1 : le mercato, les joueurs en difficulté et Beraldo notamment.

Le PSG va progresser. “Je savais déjà que vous alliez aimer cette phrase où je disais qu’on allait être plus forts en février. Là je vois que vous la faites passer en même temps que la galette des rois et vous voulez que l’équipe soit meilleure. Ce n’est pas 1+1=2. C’est un processus. L’équipe sera meilleure en février, en mars, en avril, en mai, en juin. Je suis une personne optimiste, le travail de mes joueurs va payer”.

Mayulu intégré au groupe. “Je suis au dernier échelon. Je bénéficie du travail qui a été fait avant. D’abord le fait de détecter les joueurs et de les former. Tous les entraîneurs des catégories inférieures rentrent en ligne de compte dans ce processus. C’est très important d’être très calme avec les jeunes joueurs. Ils arrivent, se forment, s’améliorent. Il y a un nutritionniste qui les aide, ils peuvent accéder à la salle de sport, ils doivent continuer à suivre leurs cours au lycée… Il faut rester dans une atmosphère tranquille. Je sais que vous n’allez pas forcément m’écouter, mais c’est facile de perdre la tête avec la famille, l’entourage… C’est merveilleux pour moi d’avoir des joueurs de ce niveau”.

Beraldo. “Il y a forcément un temps d’adaptation. Là-bas c’est l’été, ici c’est l’hiver. Il va bien, il s’adapte. Il est très mature pour son âge. On est comme dans une famille, dans ce club. On essaie de faire en sorte que son adaptation soit rapide. Il est un joueur différent, avec des qualités différentes”.

Ugarte en perte de vitesse. “Je ne suis pas du tout inquiet, aucun de mes joueurs me donne d’inquiétude. C’est la vie d’un grand club. C’est un processus qui n’a rien à voir avec l’âge, mais avec le moment, les événements de ta vie ou différentes choses. Tous les joueurs recrutés, je les vois dans une phase d’adaptation qui est bonne. Même les joueurs U19 s’adaptent. C’est sans doute plus facile pour les Français, mais c’est normal”.

L’énigme Mukiele. “Je suis l’entraîneur, c’est moi qui décide qui joue ou pas. Il n’y a aucune équipe dans le monde où tous les joueurs jouent, c’est impossible. Vous voudriez toujours que jouent ceux qui ne jouent pas, mais c’est moi qui choisis”.

Le mercato. “Je n’ai besoin de rien, j’ai déjà de tout, j’ai beaucoup de joueurs et des bons joueurs. Mais le travail de la direction sportive, c’est qu’on est ouverts à améliorer l’équipe à chaque mercato. Au mercato, on est attentifs, ouverts. Des besoins? On n’en a pas”.

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